Pas de récit du Paris-Carnet de mai, d'abord parce que je suis une authentique feignasse, ensuite parce que je n'aime pas les obligations et surtout parce que je serais trop désagréable avec certain que je ne nommerai pas et qui ne se gêne pas, lui, pour cracher son venin sans égard pour ma sensibilité.

En revanche, je vous recommande vivement les superbes portraits du (non moins superbe) Goon et les comptes rendus de plus courageux que moi.

[Une “private joke” s’est glissée dans ce billet.]